Un sirop à la courge et aux épices fait maison, mijoté à petit feu
Un ristretto bien corsé
Du lait chaud bien mousseux
Le tout soupoudré de girofle, muscade et cannelle
Le vrai réconfort des 1er froids de saison
Un sirop à la courge et aux épices fait maison, mijoté à petit feu
Un ristretto bien corsé
Du lait chaud bien mousseux
Le tout soupoudré de girofle, muscade et cannelle
Le vrai réconfort des 1er froids de saison
Derrière la «success story» de la Maison Fornerod, se cache la discrète famille Fornerod. En 1965, alors jeune pâtissier-confiseur, Gérard Fornerod père rachète la boulangerie nichée à la Grand-Rue 58. Son fils, lui aussi nommé Gérard, reprendra le flambeau en 1996, en binôme avec son épouse, Béatrice. Pour l’artisan, embrasser le métier de pâtissier-confiseur a été une évidence. Il se souvient avec malice de son enfance passée dans cette atmosphère sucrée, véritable paradis pour les bambins. «Quand j’étais haut comme trois pommes, je me faufilais derrière le comptoir et j’allais chiper des dragées, que je cachais dans mes poches.»